«La musique doit humblement chercher à faire plaisir,
l’extrème complication est le contraire de l’art.»
Claude Debussy
Prêt d’instruments
Pianos numériques de 61 à 88 touches
Guitares et basses, adaptés aux enfants
de la taille ¼ à la taille ⅞
La Musique et le handicap
Dans la plupart des cas,
le handicap quel qu’il soit
n’empêche pas l’apprentissage
de la musique. Un doute ?
Discutez-en d’abord avec nous.
Mon école de Musique à la Maison
Actualités de l’association
«La musique doit humblement
chercher à faire plaisir.
L’extrème complication est le
contraire de l’art.»
Claude Debussy
Enseignement des instruments à cordes
Prêt d’instruments possible
Pianos numériques de 61 à 88 touches
Guitares et basses, adaptés aux enfants
de la taille ¼ à la taille ⅞
Polycordes est une association de type loi 1901
Elle est enregistrée sous le numéro : W381019220
Elle a pour objet :
1.
De permettre à des professeurs de musique indépendants
de constituer entre eux, un réseau d’entreaide, afin de
promouvoir l’enseignement et la pratique des instruments
à cordes. Elle met à disposition des outils pédagogiques.
2.
De permettre à des familles aux ressources limitées
d’accéder à la pratique de la musique, soit par le prêt d’un
instrument (basse, guitare, piano), soit par une aide
personnalisée laissée à la décision du bureau.
3.
De constituer un label de qualité, afin d’assurer à leurs
élèves un enseignement adapté à chaque âge et personnalisé
selon les besoins spécifiques de chacun.
Origine de ce nom ?
Réponse ICI
Clique sur la photo de l’enseignant pour mieux le connaître
Pourquoi “Polycordes” ?
L’idée est venue au cours des discussions avec ma famille, des élèves et leurs parents.
Le constat initial : depuis le début, tous les instruments enseignés sont des instruments à cordes
(réelles : basse, guitare... ou parce qu’on parle de cordes : les “cordes” vocales)
En musique, on connait le “tétracorde” qui désigne une suite de quatre sons conjoints
(en grec, tetra = quatre et chorde = boyau - qu’on employait autrefois pour faire la corde d’un
instrument de musique) Sur le même principe de l’étymologie, on a pu “inventer” le mot “polycorde”
(en grec, polus = nombreux ou par dérivation, poly = plusieurs)
Nous, nous avons décidé de reprendre ce mot et de le garder au pluriel pour désigner le fait que
nous allions nous occuper des instruments à cordes en général.
La vocation principale de l’équipe de Polycordes est donc de faire découvrir et d’enseigner la pratique
des instruments à cordes.
Polycordes, du coup, n’est pas l’affaire d’un seul enseignant. C’est plutôt, un outil pour plusieurs
passionnés de pédagogie musicale de se réunir sous un même “label”, et de collaborer ensemble
pour donner un enseignement de qualité.
Chaque nouvel enseignant qui vient grossir les rangs de l’équipe, enseigne donc un ou plusieurs
instruments à cordes. Ainsi, nous espérons accueillir prochainement un professeur de violon, par exemple.
Comme cela existe déjà au Canada ou aux États-Unis, le diplôme n’est pas exigé pour faire partie de
l’équipe de Polycordes.
Seules exigences, qui ne sont pas des moindres tant s’en faut : les compétences pédagogiques de
l’enseignant, ainsi que ses qualités humaines.
Combien d’enfants ont été dégoutés de la musique par des professeurs, qui étaient (ou sont),
certes, des excellents interprètes, mais qui n’entendent rien à la pédagogie, tout simplement parce
qu’ils ne s’intéressent pas à leurs élèves ?
Chaque professeur de Polycordes se soucie donc personnellement de chacun de ses élèves.
Il est à l’écoute et cherche à le motiver positivement. Ça passe par des félicitations pour chaque
effort fourni, chaque progrès aussi minime soit-il. L’élève est valorisé, encouragé avec justice et
non rabroué. L’élève ne doit pas avoir peur d’aller en cours parce qu’il n’a pas travaillé son morceau.
Ce mode de fonctionnement crée une relation privilégiée entre élève et professeur, surtout avec
les enfants.
Voici d’ailleurs, une anecdote qui illustrera ces propos :
Un jour, je devais donner un cours de guitare au domicile d’une fillette de 11 ans.
D’habitude c’était sa maman qui m’accueillait, mais ce jour-là, l’enfant était gardée par sa grand-mère.
On avait vraisemblablement oublié d’avertir la mamie de ma venue, car elle avait l’air surpris
quand elle m’ouvrit la porte. C’est alors que mon élève apparut dans les escaliers et s’exclama :
Mon école de Musique à la Maison
Polycordes est une association de type loi 1901
Elle est enregistrée sous le numéro : W381019220
Elle a pour objet :
1.
De permettre à des professeurs de musique indépendants
de constituer entre eux, un réseau d’entreaide, afin de
promouvoir l’enseignement et la pratique des instruments
à cordes. Elle met à disposition des outils pédagogiques.
2.
De permettre à des familles aux ressources limitées
d’accéder à la pratique de la musique, soit par le prêt d’un
instrument (basse, guitare, piano), soit par une aide
personnalisée laissée à la décision du bureau.
3.
De constituer un label de qualité, afin d’assurer à leurs
élèves un enseignement adapté à chaque âge et personnalisé
selon les besoins spécifiques de chacun.
Origine de ce nom ?
Réponse ICI
Clique sur la photo de l’enseignant pour mieux le connaître
Pourquoi Polycordes ?
L’idée est venue au cours de discussions avec ma
famille, et des élèves adolescents et leurs parents.
Constat initial :
Tous les instruments enseignés sont des instruments
à cordes - réelles : basse guitare… ou parce qu’on
parle de «cordes» vocales.
En musique, on connaît le «tetracorde» qui désigne
une suite de quantre sons conjoints (en grec tetra =
quatre et chorde = boyau - qu’on employait autrefois
pour fabriquer les cordes d’un instrument de
musique)
Sur le même principe d’étymologie, on a «inventé»
le mot polycordes (en grec polus = nombreux, ou,
par dérivation, poly = plusieurs) Nous, nous avons
décidé de reprendre ce mot et de le garder au pluriel,
pour désigner le fait que nous allions nous occuper
des instruments à cordes en général.
La vocation première de l’équipe de Polycordes
est donc de faire découvrir et d’enseigner la pratique
des instruments à cordes…
Pour plus de détails, vous pouvez consulter l’article
complet dans la version ordinateurs de ce site.
Son premier contact avec la musique remonte à ses 10 ans, alors
qu’ilsuivait sa première leçon de percussions africaines.
Bien que ces instruments ne correspondaient pas vraiment à son répertoire musical, il était prêt à tout
pour apprendre la musique. C’est donc pour cela qu’il a accepté de suivre ce cours hebdomadaire de
percussions mis en place et financé par son établissement scolaire.
Cet apprentissage s’est poursuivi pendant trois ans, durant lesquels son envie d’apprendre la musique a
grandi jusqu’à devenir une véritable idée fixe.
Bien décidé à apprendre le saxophone et le piano, la guitare sera finalement, faute de moyens
financiers, le seul choix qui lui sera proposé.
Prêt à tout pour jouer d’un instrument harmonique (et pas seulement rythmique), il a accepté cette
proposition et s’est consacré pleinement à l’apprentissage de la guitare qu’il a dû apprendre à aimer.
Sa passion pour le jazz et le rythm and blues a trouvé un véritable écho lorsqu’il a rencontré son professeur
qui partageait en tous points ses goûts musicaux. C’est avec lui qu’il a appris les bases de l’harmonie,
l’accompagnement jazz et la technique instrumentale en général, qu’il a travaillé avec beaucoup de soin et
d’assiduité. Dans le même temps, il rencontre d’autres jeunes musiciens et, ensemble, ils montent un
groupe de hard rock : THUNDERBLUE.
Il en était le guitarise rythmique, puis en devint également le chanteur au bout de quelques temps.
Après plusieurs années à jouer en groupe et à la fin de ses années lycées, il reforme Thunderblue pour
monter un répertoire davantage axé sur le blues et le rockabilly. C’est à cette période qu’il a commencé à
enseigner la musique.
Aujourd’hui, il continue de jouer sur scène avec différents groupes en tant que guitariste remplaçant ou
titulaire, et enseigne la musique à travers des cours de pratique instrumentale, mais aussi des séances
d’éveil musicale et de développement de l’oreille (ear training)
Styles joués et enseignés
Accompagnements jazz, blues, rock, folk’, pop’,
funk, neo-soul, classique
tous styles et répertoires à la demande
Mon école de Musique à la Maison
Son premier contact avec la musique remonte
à ses 10 ans, alors qu’il suivait sa première
leçon de percussions africaines.
Bien que ces instruments ne correspondaient pas
vraiment à son répertoire musical, il était prêt à
tout pour apprendre la musique. C’est donc pour
cela qu’il a accepté de suivre ce cours
hebdomadaire de percussions mis en place et
financé par son établissement scolaire.
Cet apprentissage s’est poursuivi pendant trois
ans, durant lesquels son envie d’apprendre la
musique a grandi jusqu’à devenir une véritable
idée fixe.
Bien décidé à apprendre le saxophone et le
piano, la guitare sera finalement, faute de
moyens financiers, le seul choix qui lui sera
proposé.
Prêt à tout pour jouer d’un instrument
harmonique (et pas seulement rythmique), il a
accepté cette proposition et s’est consacré
pleinement à l’apprentissage de la guitare qu’il a
dû apprendre à aimer.
Sa passion pour le jazz et le rythm and blues a
trouvé un véritable écho lorsqu’il a rencontré son
professeur qui partageait en tous points ses goûts
musicaux. C’est avec lui qu’il a appris les bases
de l’harmonie,
l’accompagnement jazz et la technique
instrumentale en général, qu’il a travaillé avec
beaucoup de soin et d’assiduité. Dans le même
temps, il rencontre d’autres jeunes musiciens et,
ensemble, ils montent un groupe de hard rock :
THUNDERBLUE.
Il en était le guitarise rythmique, puis en devint
également le chanteur au bout de quelques
temps.
Après plusieurs années à jouer en groupe et à la
fin de ses années lycées, il reforme Thunderblue
pour monter un répertoire davantage axé sur le
blues et le rockabilly. C’est à cette période qu’il
a commencé à enseigner la musique.
Aujourd’hui, il continue de jouer sur scène avec
différents groupes en tant que guitariste
remplaçant ou titulaire, et enseigne la musique à
travers des cours de pratique instrumentale, mais
aussi des séances d’éveil musicale et de
développement de l’oreille (ear training)
Styles joués et enseignés
Accompagnements jazz, blues,
rock, folk’, pop’, funk, neo-soul,
classique
tous styles et répertoires à la
demande
Joël fit ses premiers pas dans la musique vers l’âge de 6 ans, grâce à
l’organiste du village qui l’avait repéré. Chez elle, il commença
l’apprentissage du piano et de l’orgue, en jouant sur un harmonium.
Plus tard, à 9 ans, ses parents ayant déménagé dans un autre village, il prit
des cours de solfège auprès d’un ami de son père. Les cours étaient
individuels et le professeur le faisait avancer bien plus vite que s’il s’était
trouvé dans une classe traditionnelle.
Son professeur lui faisait écrire des pages entières à la plume et n’hésitait
pas à déchirer celle qui avait une tache d’encre ou était raturée.
A 11 ans, l’entrée en 6e, à Briançon, lui permit l’apprentissage de la flûte à bec.
Ce fut une véritable révélation : il réalisa qu’il pouvait écrire et jouer les musiques qui lui trottaient
dans la tête.
A 12 ans, sa mère lui offrit une guitare et il prit des cours dans un club qui s’était créé dans son village.
Comme il trouvait qu’il n’avançait pas assez vite, il allait régulièrement acheter des livres de guitare
classique qu’il dévorait en parallèle.
Un an plus tard, il fonde un groupe avec des copains de
collège : Dry Joker.
Très vite, les scènes (en commançant par les kermesses
d’écoles) s’enchaînent, puis les bals.
Auteur-Compositeur-Interprète
Membre de la SACEM
Multi-Instrumentiste, il joue et enseigne la basse, la guitare et le piano
mais peut aussi vous initier au banjo, à la lap steel guitar ou à la pedal steel guitar.
Avec le salaire de son premier job d’été, il s’achète une basse
et l’impose à son groupe, d’abord réticent. Mais très vite, son
jeu les convainc.
Bien vite, il accompage plusieurs chanteurs sur scène et en studio.
Lui même, il enregistre un album de chansons pour enfants.
Alors qu’il travaillait comme éducateur, une amie lui présenta une petite fille de 12 ans, passionnée de
guitare mais que les professeurs refoulaient, parce qu’elle avait l’âge mental d’une enfant de 6 ans.
Il mis au point une méthode d’apprentissage adaptée, à partir des comptines qu’elle aimait chanter.
La «Méthode Daniel» était née. En enseignant aux enfants de ses amis, il comprit qu’il avait trouvé sa
vocation. Il consacrerait désormais sa vie à l’enseignement de la musique. Aujourd’hui, ça fait 40 ans…
Mon école de Musique à la Maison
Joël fit ses premiers pas dans la musique vers l’âge
de 6 ans, grâce à l’organiste du village qui l’avait
repéré. Chez elle, il commença l’apprentissage du
piano et de l’orgue, en jouant sur un harmonium.
Plus tard, à 9 ans, ses parents ayant déménagé dans
un autre village, il prit des cours de solfège auprès
d’un ami de son père. Les cours étaient individuels
et le professeur le faisait avancer bien plus vite
que s’il s’était trouvé dans une classe traditionnelle.
Son professeur lui faisait écrire des pages entières à
la plume et n’hésitait pas à déchirer celle qui avait
une tache d’encre ou était raturée.
A 11 ans, l’entrée en 6e, à Briançon, lui permit
l’apprentissage de la flûte à bec. Ce fut une véritable
révélation : il réalisa qu’il pouvait écrire et jouer
les musiques qui lui trottaient dans la tête.
A 12 ans, sa mère lui offrit une guitare et il prit des
cours dans un club qui s’était créé dans son village.
Un an plus tard, il fonde un groupe avec des copains
de collège : Dry Joker.
Très vite les scènes (en commançant par les kermesses
d’écoles) s’enchaînent, puis les bals.
Auteur-Compositeur-Interprète
Membre de la SACEM
Multi-Instrumentiste, il joue et enseigne
la basse, la guitare et le piano
Avec le salaire de son premier job d’été, il
s’achète une basse et l’impose à son groupe,
d’abord réticent. Mais très vite, son jeu les convainc.
Bien vite, il accompagne plusieurs chanteurs sur
scène et en studio. Il enregistre aussi un album
de chansons pour enfants dans le style rock-folk.
Alors qu’il travaillait comme éducateur, une amie
lui présenta une petite fille de 12 ans, passionnée
de guitare mais que les professeurs refoulaient,
parce qu’elle avait l’âge mental d’une enfant de
6 ans.
Il mis au point une méthode d’apprentissage
adaptée, à partir des comptines qu’elle aimait chanter.
La «Méthode Daniel» était née. En enseignant aux
enfants de ses amis, il comprit qu’il avait trouvé sa
vocation. Il consacrerait désormais sa vie à
l’enseignement de la musique.
Aujourd’hui, plus de 40 ans plus tard, son amour
de l’enseignement ne l’a pas quitté. Il enseigne
toujours avec le même enthousiasme, la basse,
le chant, la guitare et le piano.
Le banjo est un instrument de musique à cordes pincées nord-américain. Comme l’a écrit un jour Hugues
Aufray, le banjo fait partie des choses que l’on aime ou que l’on déteste instantanément.
Avec sa table d'harmonie à membrane, on le distingue facilement de la guitare. Comme elle, il fait partie d’une
famille qui remonte à la nuit des temps. Cet instrument serait un dérivé du luth ouest-africain l’ekonting (ou
akonting) apporté par les esclaves noirs et qui aurait suscité la création des premiers gourd-banjos (”banjo en
gourde”). Fait intéressant, l’ekonting est équipé de 4 cordes dont l’une est plus courte que les autres. Le banjo
représente désormais toute une famille d'instruments.
L'origine de l'instrument moderne remonte semble-t-il vers les années 1830-1840 durant lesquelles ont
commencé l'industrialisation et la commercialisation d'un instrument plus ancien (XVII
e
siècle) utilisé
par les esclaves africains déportés aux États-Unis.
Au XX
e
siècle, le banjo, ainsi que la mandoline, étaient bien plus populaires que la
guitare aux États-Unis. Il fallut tout le génie de quelques luthiers, comme Martin, pour inverser la tendance.
Toujours est-il que le banjo est l’un des instruments incontournables du Bluegrass, musique très populaire à
cette époque, où chaque musicien montre toute sa virtuosité au cours d’un solo, passage obligatoire entre
deux couplets. Une autre branche traditionnelle de la musique country utilise un banjo 5 cordes mais sans
résonateur : le old-time.
Cette fiche ne serait pas complète si l’on ne citait pas le banjo mandoline, cousin de la mandoline, équipé
d’un manche court et de 8 cordes couplées par 2 et accordé comme la mandoline, le banjolin (un manche
court, accordé comme la mandoline mais avec 4 cordes seulement), le banjo ukulélé, accordé comme un uke
et enfin le banjo-guitare, équipé de 6 cordes et accordé comme la guitare.
En France, ce sont le plus souvent des musiciens multi-instrumentistes qui s’essaient au banjo. Mais rien
n’empêche un débutant de s’essayer au banjo. Un guitariste aura toutes les facilités à la pratique du banjo
tout particulièrement au banjo à 6 cordes qui est accordé comme une guitare.
Avant de vous attaquer à l’apprentissage de cet instrument fascinant, lisez un bref résumé de son histoire :
La Guitare Basse, plus couramment appelée la basse est un instrument à corde pincées.
Pendant longtemps, on a attribué l’invention de la guitare basse à Leo Fender, mais en 1995, on a
mis au jour une basse de type solid body qui datait du milieu des années 30.
Voici en résumé l’Histoire de la Guitare Basse :
Historiquement, la contrebasse est l’ancêtre directe de la guitare basse. Avec les nouveaux styles de
musique qui arrivaient au début du XXe siècle, il fallait résoudre le problème de l’encombrement
de la contrebasse. Il fallait aussi en augmenter la puissance.
Dès les années 1920, des inventeurs se sont attelés à la tâche. L’un d’eux, n’est autre que Paul
Tutmarc. Pour être bref, il était désolé de voir son contrebassiste faire les voyages seul dans sa
voiture avec son instrument. Il inventa donc la Bass Fiddle (1932), une
contrebasse électrique de la taille d’un violoncelle. Lloyd Loar a, pour sa
part, pensé dès 1924 à construire une Stick Bass, mais son employeur
Gibson n’a pas été convaincu par son idée. Il décida donc de créer sa
propre compagnie, mais malheureusement, il ne parvint jamais à
commercialiser ses modèles.
Quant à lui, Paul Tutmarc, qui n’était pas satisfait de son invention,
continua ses recherches. En 1935, il sortit sa « Model #736 Electric Bass
Fiddle » sous la marque « Audiovox ».
Elle ressemblait à s’y méprendre aux basses « short scale » actuelles,
le diapason est pratiquement identique, celui de la basse de Tutmarc est de 30 pouces et demi, alors
qu’actuellement il est de 30 pouces. Malgré sa similitude, cet instrument n’a pas connu le succès, il
ne fût vendu qu’à une centaine d’exemplaires dans les alentours de Seattle.
La véritable naissance de la guitare basse et du jeu de basse qu'on connait aujourd'hui remontent vraiment dans les
années 50 avec l'apparition de la Precision Bass à la fin de l'année 1951. Comme Paul Tutmarc, Leo Fender voulait
faire quelque chose pour les contrebassistes qui avaient du mal à se faire entendre au sein du groupe auquel ils
appartenaient. A la différence de Tutmarc, Leo Fender, qui était fan de musique country, était un génie commercial. Il
fit la tournée des concerts et des nightclubs pour procéder à la démonstration de son instrument. Il espérait que la basse
recevrait le même accueil dans ce domaine musical que celui reçu par sa Telecaster. Effectivement, Joël Price sauta
sur la Precision Bass dès l'arrivée de cette dernière à Nashville et s'empressa de l'utiliser pour jouer au Grand Ole Opry
en 1952. Les bassistes de Jazz l’adoptèrent en masse, surtout lorsque la Jazz Bass fut lancée dans les années 60.
Aujourd’hui, on n’imagine pas un morceau de musique moderne sans un bon groove de basse et de nombreuses
techniques ont été développées telles que le jeu au médiator, le slap, le tapping, etc...
La Basse
Kinga Glyk
Le Chant
Qu’est-ce que le chant peut bien faire ici ? vous demanderez-vous peut-être.
Et alors ? Ne parle-t-on pas de “cordes vocales” ?
Dans ces conditions on peut donc en conclure que la voix est un instrument à cordes. Non ?
Toujours est-il que nous enseignons aussi le chant parce quand on joue de la guitare ou
du piano, on a vite envie de chanter en s’accompagnant de son instrument préféré. Encore
faut-il savoir placer sa voix ! C’est là que nous intervenons. Mais ne vous attendez pas à
faire du chant lyrique avec nous ! On n’a pas cette prétention ! Par contre, le chant permet d’améliorer son oreille
musicale en nous obligeant à mieux écouter, et donc à entendre si ce que nous jouons sur notre instrument est juste.
Le chant est un “instrument” que tout le monde sans exception peut pratiquer. Il n’est pas encombrant puisqu’on l’a
toujours sur soi. Certains “savent” chanter tout naturellement sans n’avoir jamais eu besoin de prendre des cours
(d’ailleurs la notion de “cours de chant” est assez récente), d’autres diront qu’ils ne “savent” pas chanter. En fait,
“savoir” ou “ne pas savoir” chanter est une expression quelque peu incorrecte. On devrait plutôt -à mon humble avis-
se demander : “suis-je capable de me faire une image mentale de la note que je veux chanter ou pas ?” Pour chanter
juste, il faut donc apprendre à écouter.
Le savais-tu ?
Depuis la nuit des temps, le chant fait partie du culte rendu à Dieu (ou à d’autres divinités). La Bible dit même que des
hommes ont entendu des anges chanter pour célébrer certaines occasions (la naissance de Christ par exemple).
Au passage, savez-vous que le solfège a été inventé pour transcrire sur papier (à l’origine le parchemin) ce qu’on se
transmettait jusqu’alors de bouche à oreille ?
La portée a été mise au point en se basant sur la tessiture de la voix humaine. A la base, ça aurait dû faire une portée
générale de 11 lignes. Mais comme il aurait été impossible de lire la musique sur une telle portée, on attribua donc à
chaque voix un fragment de cette portée correspondant. Chacun de ces fragments fut constitué de 5 lignes. Pour
reconnaitre les divers fragments, on plaça au commencement de cette portée le caractère alphabétique qui représente la
note. Sur ce qui aurait dû être la 6e ligne, on plaça un C qui correspond au do (ou ut). Sur la 4e ligne, qui porte le fa, la
lettre F, et enfin sur la 8e ligne qui porte le sol, la lettre G qui représente cette note. Par métaphore, ces caractères sans
lesquels on ne pourrait reconnaître la position des notes prirent le nom de clés et leur figure, peu à peu modifiées,
devinrent telles que nous les connaissons aujourd’hui,
La clé de sol, la clé de fa et la clé d’ut,
Le Piano
La méthode utilisées pour l’enseignement du piano chez Polycordes est progressive et adaptée à l’âge et aux capacités de l’élève.
Les plus jeunes auront le plaisir de s’initier au piano à l’aide de comptines célèbres.
Les plus grands et les adultes pourront essayer des morceaux célèbres du répertoire classique et du jazz. Ceux qui le souhaitent,
pourront s’initier au chant en s’accompagnant au piano.
A noter que Polycordes s’est équipé de quelques pianos numériques pour permettre à
des débutants de s’initier à la pratique de ce noble instrument, avant d’envisager d’en
acheter un.
Un aperçu de son Histoire :
Le Piano (de son nom complet : le piano-forte) est un instrument relativement récent, à cordes
frappées.
Si on doit lui trouver un ancêtre citons alors le clavicorde.
Au début du XVIII
e
siècle, l’instrument le plus en faveur est sans conteste le clavecin.
Sa brillance, son ampleur, son égalité favorisent aussi bien l’écriture virtuose que la construction
architecturale. Vers le milieu du siècle, en Allemagne et en Scandinavie surtout, on commence à lui
préférer le clavicorde : à son maximum de puissance, il ne dépasse pas le pianissimo du clavecin, mais
ce qui séduit en lui est d’abord sa capacité à suivre les lignes d’expression, à faire comme des pleins et des
déliés là où le clavecin tracerait toujours le même caractère.
La différence de principe des deux instruments est simple : les cordes du clavecin sont “pincées” par des becs de plume de corbeau
situés dans des sautereaux actionnés par les touches - imaginez une grande guitare qui possèderait un médiator par corde - tandis que
celles du clavicorde sont frappées par de petites languettes de métal fixées au bout des touches (les tangentes). Il y a plusieurs tangentes
par corde (ou par paire de cordes), frappant celles-ci à des points de division différents, ce qui permet d’obtenir autant de hauteurs
différentes sur une même corde.
Donc, ce clavicorde, qui jusqu’à présent servait en quelque sorte d’écriture au compositeur (on le posait sur une petite table), on va
l’agrandir, le mettre sur pieds, lui rajouter des cordes, tout en ne gardant qu’une seule tangente par corde. Certains rêvent d’un clavier
qui aurait la puissance du clavecin et le toucher du clavicorde ; qui pourrait produire des dynamiques vraiment différentes, en fonction
de la vitesse de la frappe sur la corde. Un vrai bouleversement ! Pour le concrétiser, il fallait créer un nouvel instrument.
En 1716, Jean Marius présente à Paris des maquettes de mécaniques pour un “clavecin à maillets” L’année suivante, en Saxe,
Christoph Gottieb Shröter conçois une mécanique du même type, qui frappe la corde par dessus. Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est
qu’en 1709, à Florence, un fabricant de clavecins nommé Bartolomeo Cristofori avait rendu publique l’invention d’un instrument qu’il
baptisait : “clavicembalo col piano e forte”, dont le mécanisme résolvait la question de façon décisive. Et il fallut bien 70 ans avant que
ce nouvel instrument, appelé désormais “piano-forte”, impose la clarté de son principe.
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pour plus de renseignements
Le Banjo
En France, ce sont le plus souvent
des musiciens multi-instrumentistes
qui s’essaient au banjo. Mais rien
n’empêche un débutant de s’essayer
au banjo.
Un guitariste aura toutes les facilités
à la pratique du banjo tout particu-
lièrement au banjo à 6 cordes qui
est accordé comme une guitare.
Avant de vous attaquer à l’apprentissage
de cet instrument fascinant, lisez
un bref résumé de son histoire ;
L'origine de l'instrument moderne
remonte semble-t-il vers les années
1830-1840 durant lesquelles ont
commencé l'industrialisation et la
commercialisation d'un instrument plus ancien
(XVII
e
siècle) utilisé par les esclaves africains
déportés aux États-Unis.
Au XX
e
siècle, le banjo, ainsi que la mandoline,
étaient bien plus populaires que la guitare aux
États-Unis. Il fallut tout le génie de quelques luthiers,
comme Martin, pour inverser la tendance.
Toujours est-il que le banjo est l’un des instruments
incontournables du Bluegrass, musique très populaire
à cette époque, où chaque musicien montre toute sa
virtuosité au cours d’un solo, passage obligatoire
entre deux couplets. Une autre branche traditionnelle
de la musique country utilise un banjo 5 cordes
mais sans résonateur : le old-time.
La Basse
La Guitare Basse, plus couramment appelée la basse
est un instrument à corde pincées.
Pendant longtemps, on a
attribué l’invention de la
guitare basse à Leo Fender,
mais en 1995, on a mis au
jour une basse de type
solid body qui datait du milieu
des années 30.
Le vrai père de la basse, donc
S’appelle Paul Tutmare.
Il voulait aider les contrebassistes qui devaient
voyager seuls pour transporter leur instrument.
Aujourd’hui, on n’imagine pas un morceau de
musique moderne sans un bon groove de basse et
de nombreuses techniques ont été développées
telles que le jeu au médiator, le slap, le tapping,
etc...
Kinga Glyk
Le Chant
Qu’est-ce que le chant peut bien faire ici ? vous
demanderez-vous peut-être.
Et alors ? Ne parle-t-on pas de “cordes vocales” ?
Dans ces conditions on peut donc en conclure que la
voix est un instrument à cordes. Non ?
Toujours est-il que nous enseignons aussi le chant
parce que, quand on joue de la guitare ou du piano,
on a vite envie de chanter en s’accompagnant de son
instrument préféré. Encore faut-il savoir placer sa
voix ! C’est là que nous intervenons. Mais ne vous
attendez pas à faire du chant lyrique avec nous ! On
n’a pas cette prétention ! Par contre, le chant permet
d’améliorer son oreille musicale en nous obligeant à
mieux écouter, et donc à entendre si ce que nous
jouons sur notre instrument est juste.
Le chant est un “instrument” que tout le monde sans
exception peut pratiquer. Il n’est pas encombrant
puisqu’on l’a toujours sur soi. Certains “savent”
chanter tout naturellement sans n’avoir jamais eu
besoin de prendre des cours (d’ailleurs la notion de
“cours de chant” est assez récente), d’autres diront
qu’ils ne “savent” pas chanter. En fait, “savoir” ou
“ne pas savoir” chanter est une expression quelque
peu incorrecte. On devrait plutôt -à mon humble
avis- se demander :
“suis-je capable de me faire une image mentale de la
note que je veux chanter ou pas ?” Pour chanter
juste, il faut donc apprendre à écouter.
Le Piano
Même si on rencontre de plus en plus souvent des
pianos numériques que acoustiques, le piano est
toutefois un instrument à cordes.
La méthode utilisées pour l’enseignement du
piano chez Polycordes est progressive et adaptée
à l’âge et aux capacités de l’élève.
Les plus jeunes auront le plaisir de s’initier au
piano à l’aide de comptines célèbres.
Les plus grands et les adultes pourront essayer
des morceaux célèbres du répertoire classique et
du jazz. Ceux qui le souhaitent, pourront s’initier
au chant en s’accompagnant au piano.
A noter que Polycordes s’est équipé de quelques
pianos numériques pour permettre à des débutants
de s’initier à la pratique de ce noble instrument,
avant d’envisager d’en acheter un.
La Guitare Classique
C’est la guitare qu’il faut choisir pour apprendre parce qu’avec ses cordes en nylon, l’apprentissage sera moins
douloureux pour les doigts. De plus on la trouve dans différentes tailles, ce qui fait que même de jeunes enfants
peuvent commencer à jouer de cet instrument. L’élève le plus jeune que j’ai eu était un petit garçon de 5 ans.
Quelle taille choisir pour les enfants ? Les avis divergent.
Quelqu’un va conseiller telle taille de guitare en fonction de l’age de l’enfant, ce qui n’est pas forcément logique
quand on pense que deux enfants du même âge peuvent avoir des tailles très différentes. ainsi, j’ai connu des
enfants de 5 ans à qui on aurait facilement donné 8 ans et d’autres le contraire. J’ai même connu une petite fille
qui à l’âge de 10 ans mesurait 1m 10 (la taille “normale” d’un enfant de 5 ans).
Il n’y a donc pas de règle précise, à part peut-être celle-ci : Il faut aller en magasin de musique et essayer.
On définit la taille d'une guitare en fonction de son diapason.
En lutherie, le diapason désigne pour les instruments à cordes la longueur vibrante de la corde, par exemple sur
la guitare classique, la longueur entre le sillet de tête et le sillet de chevalet.
A titre indicatif, voici un petit tableau pour aider :
Modèle diapason Taille
1/4 40-41 cm 105 à 115 cm
1/2 48-52 cm 116 à 134 cm
3/4 58-59 cm 135 à 145 cm
7/8 62-63 cm 146 à 159 cm
4/4 65 cm à partir de 160 cm
Encore une fois, il s’agit d’indications. L’important c’est qu’un enfant
ou un adulte se sente à l’aise avec son instrument. Il y a un lien
sentimental qui se crée entre le guitariste et sa guitare. Ceci parce
qu’on ressent la vibration de l’instrument qu’on tient tout contre soi.
Ainsi, j’ai connu une petite fille de 10 ans qui a mis 6 mois pour accepter de se séparer de sa guitare 1/2 et passer
sur une 3/4. C’est pourtant sa même mamie qui lui avait offert ses deux guitares.
La Guitare Folk
La guitare dite «Folk» est née aux Etats Unis au début du 19e siècle. C’est un luthier Allemand qui s’y était
installé afin d’échapper aux vexations de ses collègues autrichiens qui dénigraient la fabrication des guitares.
Il s’appelait Christian Fredrich MARTIN
La marque Martin est aujourd’hui, une référence internationnale, signe qu’une qualité incontestable.
La guitare espagnole, dite «classique», a des cordes en nylon, tandis que la guitare folk a des cordes en
acier et en bronze.
La couleur sonore de ces guitares en fait un
instrument privilégié pour l’accompagnement
pour le chant, depuis le blue grass, jusqu’au rock,
en passant par la country ou la variété.
Avec Polycordes, tu apprendras à accompagner
des chansons à l’aide de rythmiques, d’arpèges
et de pickings qui mettront en valeur le morceau
choisi.
La Guitare électrique
Il y aurait beaucoup à écrire sur les guitares électriques.
Il faudrait aussi parler des guitares électro-acoustiques qui sont arrivées sur le marché dans les années 70,
avec une innovation révolutionnaire signée Ovation.
Quelle guitare choisir pour l’apprentissage ? Les guitares de marque sont chères, voire TRES chères.
Pourquoi nepas commencer avec une imitations ?
Aujourd’hui, les guitares Telecaster, Stratocaster , Les Paul et SG sont les guitares les plus imitées au monde, la
Telecaster ayant battu tous les records de longévité.
L’apprentissage de la guitare électrique n’est pas très
différent de celui de la guitare classique, à la base.
Sauf que la guitare classique a des cordes en nylon,
beaucoup moins agressive que celles de la guitare
électrique, qui, elles, sont en acier et en titane.
Il y a juste des techniques spécifiques à ajouter.
Une foule de techniques en fait.
Aujourd’hui, on trouve même des guitares de taille
enfants (¾)
Les Etats Unis et l’Australie ont même pensé aux petites
mains féminines, au look spécifique (⅞) qui séduit.
Mais ces modèles sont introuvables, ou presque, en Europe.
Quel que soit le niveau que tu vises, tu trouveras l’aide appropriée
avec l’un des enseignants de Polycordes, tout particulièrement avec
Dylan.
Créée dans les années 1930, la Lap Steel Guitar est en fait la première, et de loin, "guitare"
électrique "solid body".
Entre les deux guerres mondiales, une des musiques à la mode était la musique hawaïenne.
Cette musique se jouait (en plus du ukulélé) sur des guitares acoustiques à cordes aciers
courantes, posées à plats sur les genoux, et ceci uniquement avec un tube en acier appelé
"steel bar" ou simplement "steel".
La Lap Steel Guitar
La lap steel guitar a été remise sur le devant de la scène par
Ben Harper, mais David Gilmour des "Pink Floyd" l'utilise
régulièrement sur scène et sur album.
Aujourd’hui, on peut trouver des Lap Steels, à des prix aussi
abordables que des guitares traditionnelles.
Même si on ne trouve pas beaucoup de ces instruments en France, son
apprentissage est assez aisé.
On peut jouer de la Lap Steel Guitar posée sur nos genoux, ou, comme
David Gilmour choisir un modèle sur pieds.
Vous voulez vous initier à la Lap Steel Guitar ? Renseignez-vous auprès de Joël
Quel est cet instrument mystérieux qu’on entend dans la musique de certains films américains, la musique Country,
la musique acadienne, ou, en France, derrière Eddy Mitchell, Dick Rivers ou Gildas Arzel ?
C’est la Pedal Steel Guitar.
Ne cherchez pas, vous n’en trouverez pas dans les magasins de musique français. C’est un instrument qui, curieusement
est boudé par la plupart des musiciens français. Et c’est bien dommage !
La Pedal Steel Guitar est une version améliorée de la
Lap Steel Guitar sur pieds.
Un ou deux manches de 10 ou 12 cordes, au moins
3 pédales destinées à changer la note d’une ou plusieurs
cordes et au moins 4 leviers actionnés par les genoux.
Voici ci-dessous une vue de la partie mécanique
(undercarriage) d’une pedal steel (Wikipedia)
Les méthodes de Pedal Stell Guitar sont presque toutes
américaines. Je n’en ai trouvé qu’une seule en français, introuvable dans les magasins de musique. Elle a été écrite
par Jean-Yves LOZAC’H (cliquez sur son nom pour faire sa connaissance)
Malheureusement, les pedal steel Guitars coûtent assez cher. En Europe, on en trouve seulement en Allemagne ou
en Suisse. Même le prix des pedals steels d’occasion dépassent les 1000 €
Pour apprendre à jouer d’un instrument, il faut en posséder un, bien sûr ! Joël peut vous initier avec la sienne, mais
tu ne progresseras pas ou très peu si tu n’en as pas une chez toi. En attendant, tu peux commencer avec une Lap Steel
beaucoup plus abordable (à partir de 88 € chez Thomann )
Mon école de Musique à la Maison
C’est la guitare qu’il faut choisir pour apprendre
parce qu’avec ses cordes en nylon, l’apprentissage
sera moins douloureux pour les doigts. De plus, on
la trouve dans différentes tailles, ce qui fait que
même de jeunes enfants peuvent commencer à jouer
de cet instrument. L’élève le plus jeune que j’ai eu,
était un petit garçon de 5 ans.
Quelle taille choisir pour les enfants ? Les avis
divergent. Quelqu’un va conseiller telle taille de
guitare en fonction de l’age de l’enfant, ce qui
n’est pas forcément logique quand on pense que
deux enfants du même âge peuvent avoir des tailles
très différentes. Ainsi, j’ai connu des enfants de
5 ans à qui on aurait facilement donné 8 ans
et d’autres le contraire. J’ai même connu une
petite fille qui à l’âge de 10 ans mesurait 1m 10
(la taille “normale” d’un enfant de 5 ans).
Il n’y a donc pas de règle précise, à part peut-être
celle-ci :
Il faut aller en magasin de musique et essayer.
On définit la taille d'une guitare en fonction de
son diapason.
En lutherie, le diapason désigne pour les instruments
à cordes, la longueur vibrante de la corde, par
exemple, sur la guitare classique, la longueur entre
le sillet de tête et le sillet de chevalet.
A titre indicatif, voici un petit tableau pour aider :
Modèle diapason Taille
1/4 40-41 cm 105 à 115 cm
1/2 48-52 cm 116 à 134 cm
3/4 58-59 cm 135 à 145 cm
7/8 62-63 cm 146 à 159 cm
4/4 65 cm à partir de 160 cm
Encore une fois, il
s’agit d’indications.
L’important c’est
qu’un enfant ou un
adulte se sente à l’aise
avec son instrument.
Il y a un lien
sentimental
qui se crée entre le
guitariste et sa guitare.
Ceci parce qu’on ressent
la vibration de l’instrument qu’on tient tout
contre soi.
Ainsi, j’ai connu une petite fille de 10 ans qui
a mis 6 mois pour accepter de se séparer de sa
guitare 1/2 et passer sur une 3/4. C’était pourtant sa
même mamie qui lui avait offert ses deux guitares.
La guitare dite «Folk» est née aux Etats Unis
au début du 19e siècle.
C’est un luthier Allemand qui s’y était installé,
afin d’échapper aux vexations de ses collègues
autrichiens qui dénigraient la fabrication des
guitares.
Il s’appelait Christian Fredrich MARTIN.
La marque Martin est aujourd’hui, une r
éférence internationnale, signe qu’une qualité
incontestable.
La Guitare Folk
La guitare espagnole, dite «classique», a des cordes
en nylon, tandis que la guitare folk a des cordes en
acier et en bronze.
La couleur sonore de ces guitares en fait un
instrument privilégié pour l’accompagnement
pour le chant, depuis le blue grass, jusqu’au
rock,en passant par la country ou la variété.
Avec Polycordes, tu apprendras à accompagner
des chansons à l’aide de rythmiques, d’arpèges
et de pickings qui mettront en valeur le morceau
choisi.
L’apprentissage de la guitare électrique n’est pas
très différent de celui de la guitare classique,
à la base.
Sauf que la guitare classique a des cordes en
nylon, beaucoup moins agressive que celles de
la guitare électrique, qui, elles, sont en acier et
en titane.
Il y a juste des techniques spécifiques à ajouter.
Il existe même des guitares
de tailles enfants (¾).
Quel que soit le niveau que tu vises, tu trouveras l’aide
appropriée avec l’un des enseignants de Polycordes,
tout particulièrement avec Dylan.
Il y aurait beaucoup à écrire sur les guitares
électriques. Il faudrait aussi parler des guitares
électro-acoustiques qui sont arrivées sur le
marché dans les années 70, avec une
innovation révolutionnaire signée Ovation.
Quelle guitare choisir pour l’apprentissage ?
Les guitares de marque sont chères, voire
TRES chères. Pourquoi ne pas commencer
avec une imitation ?
Aujourd’hui, les guitares Telecaster, Stratocaster
Les Paul et SG sont les guitares les plus
imitées au monde, la Telecaster ayant battu tous
les records de longévité.
Créée dans les années 1930, la Lap Steel
Guitar est en fait la première, et de loin,
"guitare" électrique "solid body".
Entre les deux guerres mondiales, une des
musiques à la mode était la musique
hawaïenne.
Cette musique se jouait (en plus du ukulélé)
sur des guitares acoustiques à cordes aciers
courantes, posées à plats sur les genoux, et
ceci uniquement avec un tube en acier appelé
"steel bar" ou simplement "steel".
La Lap Steel Guitar
Aujourd’hui, on peut trouver des Lap Steels,
à des prix aussi abordables que des guitares
traditionnelles.
Même si on ne trouve pas beaucoup de ces
instruments en France, son apprentissage
est assez aisé.
On peut jouer de la Lap Steel Guitar posée sur
nos genoux, ou, comme David Gilmour ici,
choisir un modèle sur pied.
Quel est cet instrument mystérieux qu’on
entend dans la musique de certains films
américains, la musique Country,la musique
acadienne, ou, en France, derrière
Eddy Mitchell, Dick Rivers ou Gildas Arzel ?
C’est la Pedal Steel Guitar.
Ne cherchez pas, vous n’en trouverez pas dans
les magasins de musique français. C’est un ins-
trument qui, curieusement, est boudé par la
plupart des musiciens français. Et c’est bien
dommage !
La Pedal Steel Guitar est une version améliorée
de laLap Steel Guitar sur pieds.
Un ou deux manches de 10 ou 12 cordes, au
moins 3 pédales destinées à changer la note
d’une ou plusieurs cordes et au moins 4 leviers
actionnés par les genoux.
Voici ci-dessous une vue de la partie mécanique
(undercarriage) d’une pedal steel (phpto Wikipedia)
Pour l’élève, c’est la formule la
plus avantageuse.
En effet, l’enseignant se consacre
exclusivement à son élève, pendant
toute la durée de la leçon.
C’est aussi un moment privilégié,
où une relation de confiance
s’installe entre l’élève et son
professeur, et, par extention,
les parents.
Exclusivement des cours individuels
Bien qu’ils n’aient pas notre préférence, les circonstances -la crise en
particulier- nous ont obligé à nous adapter.
En effet, combien de personnes regrettent de n’avoir jamais pu faire de
musique parce que leurs parents n’avaient pas les moyens de leur payer des
cours ?
Les cours collectifs peuvent être organisés par groupes de 2 à 4 élèves
(2 seulement pour le piano)
La condition majeure, c’est que les enfants doivent être de la même tranche
d’âge, selon une fourchette de deux ans. L’idéal c’est quand ils se connaissent
déjà, mais ce n’est pas une obligation.
Bien sur, pour les cours d’adultes, ça n’a pas d’importance !
Pour plus de renseignements, contactez-nous.
Mon école de Musique à la Maison
Pour l’élève, c’est la
formule la plus
avantageuse.
En effet, l’enseignant
se consacre exclusivement
à son élève, pendant toute
la durée de la leçon.
C’est aussi un moment
privilégié, où une relation
de confiance s’installe
entre l’élève et son
professeur, et, par
extention, les parents.
Les Cours Individuels
Bien qu’ils n’aient pas notre préférence, les
circonstances -la crise en particulier-
nous ont obligé à nous adapter.
En effet, combien de personnes regrettent de
n’avoirjamais pu faire de musique parce que
leurs parents n’avaient pas les moyens de leur
payer des cours ?
Les cours collectifs peuvent être organisés
par groupes de 2 à 4 élèves (2 seulement pour
le piano) La condition majeure, c’est que les
enfants doivent être de la même tranche
d’âge, selon une fourchette de deux ans.
L’idéal c’est quand ils se connaissent déjà,
mais ce n’est pas une obligation.
Bien sûr, pour les cours d’adultes, ces
conditions ne s’appliquent pas !
Pour plus de renseignements,
contactez-nous.
Mon école de Musique à la Maison
Mon école de Musique à la Maison
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Vous pouvez voir d’autres clips sur notre chaîne,
en cliquant sur le logo :
Prêt et Location
de Matériel de Sonorisation
et de Lumières
Afin de minimiser les coûts de revient des concerts
de fin d’année avec les élèves, j’ai acquis du matériel
de sonorisation professionnel ainsi que du matériel
d’éclairage.
Comme Polycordes, les associations, les professeurs
de musique indépendants et les groupes débutants
n’ont pas les moyens de louer un tel matériel.
Je vous propose donc de le mettre à disposition
sous certaines conditions, voire d’assurer
bénévolement votre régie.
Nous contacter ICI pour en discuter.
Écriture de Vos Partitions
Pas facile d’écrire soi même la partition de ses
compositions quand on n’a pas la formation suffisante
pour le faire, et surtout quand on n’a pas les outils
nécessaires !
L’équipe de Polycordes peut répondre à ce besoin et
vous propose son expérience et son équipement, un
logiciel professionnel qui permet une qualité d’écriture
exceptionnelle.
Peut-être avez-vous déjà écrit vos partitions et avez-
vous juste besoin qu’un œil extérieur et de confiance
vérifie votre travail et, au besoin, corrige les fautes
éventuelles.
Confiez vos œuvres à un auteur compositeur, membre
de la SACEM
Mon école de Musique à la Maison
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et de Lumières
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Comme Polycordes, les associations, les professeurs
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n’ont pas les moyens de louer un tel matériel.
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Association Polycordes
85 rue Jean-Pierre Raffin-Dugens
38420 MURIANETTE
Ligne Bus n°15
Arrêt «Le Bourg»
Joël : 06 99 31 34 42
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Dylan : 06 33 79 66 72
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