Florent et la poupée Florent est un gentil petit garçon qui est tellement timide qu’il ne joue jamais avec les autres s’il n’y est pas invité. Un jour qu’il était assis sur un banc public, il observa des petites filles qui jouaient ensemble avec une poupée. Mais bien vite le jeu se changea en bagarre et deux fillettes se mirent à se battre pour avoir la poupée dans les bras. A force de lui tirer sur les bras de tous les côtés, la poupée finit par se casser. Les petites filles jetèrent la poupée dans un buisson et se sauvèrent. Quand il ne vit plus personne, Florent récupéra la poupée dans l’intention de la réparer et de l’offrir à ses petites sœurs. Mais, celles-ci sont de véritables petites pestes, et, le voyant avec une poupée dans les bras, elles se mirent à se moquer de lui. Tant et si bien qu’il décida de ne pas la leur donner quand il aura fini de la réparer. Mais que va-t-il bien pouvoir en faire ?

Stéphanie et la princesse Stéphanie est une jolie petite fille blonde aux cheveux bouclés qui lui donnent l’air d’une poupée. Elle a tout juste 8 ans et est la petite sœur d’Émilie de 4 ans son ainée. Un jour, Émilie invita ses amis et organisa une ballade en forêt, mais elle fut obligée d’emmener sa petite sœur avec elle. Stéphanie est aussi capricieuse qu’elle est belle. Et, comme à son habitude, elle ne tarda pas à exaspérer tout le groupe. Finalement, elle leur faussa compagnie et alla se réfugier dans une clairière. Après s’être amusée un peu, elle s’endormit au pied d’un arbre. Elle fut bientôt réveillée par un soldat et une dame habillés comme dans les livres de contes qu’elle aimait tant qu’on lui lise tous les soir avant d’aller dormir. Le plus bizarre c’est qu’ils l’appelaient princesse Stéphanie. Elle comprit vite qu’on la prenait pour une autre. On la traina jusqu’à un grand palais où elle découvrit que la princesse en question était son double parfait. Comment allait-elle sortir de ce guêpier ?

Clément et Clémentine Il y a bien longtemps, un brave tailleur épousa une gentille couturière. Un beau jour, celle-ci mit au monde deux beaux enfants. Ils étaient de faux jumeaux, puisqu’il y avait une fille et un garçon, mais il se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Les parents se crurent obligés de les appeler Clément et Clémentine. D’ailleurs, tant qu’ils étaient bébés, les parents leur confectionnaient exactement la même petite robe. Sur celles de Clément, il y avait des rubans bleus et sur celles de Clémentine, les rubans étaient roses. En grandissant, les deux enfants étaient très complices et jouaient toujours ensemble. Comme leurs parents aimaient leur faire des cadeaux, ils se servaient de Clément, comme mannequin, pour confectionner une belle robe pour Clémentine et de Clémentine, pour confectionner un joli ensemble pour Clément. Mais à la longue Clément enviait sa sœur d’avoir de belles robes et Clémentine enviait son frère pour les beaux costumes qu’il portait. Un jour qu’ils jouaient ensemble, ils eurent l’idée d’échanger leur vêtement. Quand leur mère vint les chercher pour le repas elle les prit l’un pour l’autre. Ravis, les enfants décidèrent de continuer de prendre la place l’un de l’autre. Mais c’était sans compter sur leur Chat Gaspard qui décida de les remettre dans le droit chemin. Il demanda de l’aide à son ami l’enchanteur Merlin qui donna vie à la poupée préférée de Clémentine et au tambour de bois de Clément. Ensemble il vont parcourir le monde, bravant tous les dangers et se rendre compte que ce n’est pas toujours la belle vie d’être dans la peau de l’autre, et qu’il n’y a qu’un seul remède pour être heureux : c’est d’être content de ce qu’on est. De plus, tant qu’on donne de l’amour autour de soi, on peut être fier d’être qui on est.

Aurore et le Troubadour Un troubadour parcourt seul les chemins pour proposer sa musique de village en village, jusqu’à un matin où il entend un enfant pleurer derrière un buisson. Il découvre alors une petite fille orpheline qui lui raconte les maltraitances qu’un couple de fermier lui font subir. Elle s’est sauvée mais ne sait pas où aller. Le troubadour, touché décide de l’emmener avec lui. Il lui donne le prénom Aurore et lui apprend à lire et écrire et bien- sûr à jouer de la musique. Surtout, il l’aide à surmonter ses peurs, comme ne plus avoir peur du loup…

Quand Julie s’en Mêle Introduction écrite par Adèle Buisset (9ans) : Certains de vos amis, vos ennemis, vos cousins, cousines, vos frères et sœurs ont des petits problèmes personnels que nous ne voyons pas. Ceci s’appelle un handicap silencieux. L’histoire que nous allons vous raconter est l’histoire de quatre frères et sœurs et de leurs parents, qui déménagent dans la contrée pour qu’ils puissent gagner leur vie. Les quatre frères et sœurs sont bien embêtés dans leur nouvelle école, car il y a certains élèves qui se moquent beaucoup de ceux qui ont un handicap silencieux (ou non). Ils vont demander conseil à leur grand-mère qui habite près d’ici. La grand-mère leur donna de nombreux conseils très difficiles à suivre, mais bons pour ceux qui sont en train de souffrir. Les quatre enfants se mirent en route pour une aventure inoubliable qui les attend. Réussiront-ils la mission qu’ils se sont donnée ?

Le Royaume où l’on ne chantait pas Il y a bien longtemps, vivait une princesse qui respirait la joie de vivre. Blandine, ainsi l’appelait-on, chantait tout le temps de sa voix cristalline, pour le plus grand ravissement de tout son entourage, depuis ses parent jusqu’au plus petit des domestiques. Mais un jour, Blandine se réveilla muette, ou presque. On fit venir les plus grand médecins du royaume, mais personne ne put diagnostiquer son mal. On essaya sur elle les remèdes les plus farfelus… En vain. On commença même à penser qu’une sorcière malveillante lui avait jeté un mauvais sort et des espions se mirent à parcourir le pays à sa recherche. Quand elle entendait quelqu’un chanter, la princesse pleurait et s’enfonçait dans une grande déprime. Alors le roi décréta qu’il était formellement interdit de chanter dans tout le royaume. On pouvait jouer d’un instrument, mais si on osait chanter, on était envoyé au cachot. C’est alors, qu’un troubadour qui venait d’un très lointain pays vint proposer son spectacle musical à la cour du roi. Voulant faire du bien à sa fille, le roi accepta. Au cours de son spectacle, Le troubadour se mit à chanter une très belle chanson de sa composition, ce qui fit, bien sûr, pleurer notre princesse. Le roi entra dans une violente fureur et fit jeter le musicien au cachot. Loin de se lamenter sur son triste sort, le troubadour continuait d’inventer de nouvelles chansons qui faisait rire les prisonniers et leurs gardiens au grand dam du roi et de sa famille. Alors Blandine réclama que le troubadour qui rendait les prisonniers joyeux vienne lui chanter une de ses chansons chaque jour. Bien-sûr, le roi refusa tout net, mais la reine qui voulait revoir sa fille heureuse, insista pour que son mari cède. Notre troubadour lui redonnera-t-il la joie de vivre ?